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Détail de l'auteur
Auteur Reynald Brizais
Maître de conférence en Psychologie sociale, faculté de psychologie de l'Université de Nantes.
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Comment faire équipe ? / Reynald Brizais in Les Cahiers de l'actif, HS 1 (03/2013)
[article]
in Les Cahiers de l'actif > HS 1 (03/2013) . - pp. 177-189
Titre : Comment faire équipe ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Reynald Brizais, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp. 177-189 Langues : Français (fre) Résumé : L’équipe — mais plus précisément l’équipe pluridisciplinaire — reste la marque du médico-social, dans sa distinction avec le sanitaire, ou le champ de l’éducation scolaire ordinaire. Travailler en équipe a été dès le départ une évidence dans ce secteur… Cela ne l’est plus, au point qu’est apparu ce néologisme, " faire équipe "… L’équipe serait donc à faire, à fabriquer, à faire tenir…
Autant de signes d’un délitement de l’évidence identitaire d’être une équipe que les acteurs de terrain portaient en eux dans le cadre de pratiques à l’origine en milieu fermé (internat spécialisé en particulier).
Le " milieu ouvert " des années quatre-vingt avait déjà modifié sérieusement les choses…
Les mouvements suivants d’expansion de l’exigence d’ouverture, avec au premier plan l’intégration scolaire " en milieu ordinaire " des années quatre-vingt-dix, la loi 2002-2… vont augmenter ce processus d’altération du sentiment d’équipe.
Le Sessad – et d’autres dispositifs d’intervention au plus près ou dans le milieu ordinaire de vie du sujet entraînent la même conséquence.
La logique réseau que les cadres vont porter a souvent été présentée par eux comme une mutation obligée, si ce n’est souhaitable, dans la forme de travail qu’il faudrait désormais réaliser et supporter. Mais entre l’équipe pluridisciplinaire des origines, et la logique réseau actuelle, on est passé (sans en être non plus sorti) par le partenariat, autre figure qui est venue percuter les dynamiques en place d’équipe.
Le constat est donc aujourd’hui précis ; il faut " faire équipe " parce que l’équipe, ça ne marche plus, en tout cas plus autant. Certains des acteurs ont pris le goût d’une indépendance, dans la confusion avec une autonomie relative maximale qui seule est souhaitable.
Quand les cadres avaient promu le travail en partenariat comme gage d’ouverture, ils se l’étaient réservé, représentant leurs institutions dans les carrefours et croisements partenariaux…
Le travail en réseau, nouvelle donne apparue dans les années 2000, oblige quant à lui à aller pour loin dans la distribution des rôles, et à renoncer à cette appropriation par la hiérarchie des liens externes.
Faire équipe, c’est donc aujourd’hui une affaire de réglage, subtil, entre la nécessité éprouvée de maintenir une cohésion, un sentiment groupal, pour donner une consistance suffisante à l’idée de " service ", le renoncement à l’exclusive de la seule présence des chefs dans les liens institutionnels obligés qui accompagnent le processus de soin dans ce type de service, et enfin le risque de dispersion, et donc de dérive que l’on court si la dimension institutionnelle n’est pas clairement représentée et portée par tous les acteurs qui interviennent au nom du service…
Faire équipe ne relève donc pas d’une nouvelle méthode de management, encore moins d’une modernité quelconque, mais bien du maintien de la nécessité d’institutionnaliser les interventions, et de mettre en place chacun des intervenants, seule garantie offerte pour l’usager de ne pas se trouver instrumentalisé, objectivé, pris dans la subjectivité d’un intervenant isolé…
C’est donc bien la même histoire toujours… Seule la mise en scène diffère…
Faire équipe, version organisationnelle, fonctionnelle, d’un faire institution, plus éthique, plus politique, et partant plus difficile à penser.
Permalink : http://www.cdi-meslay.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=15421 [article] Comment faire équipe ? [texte imprimé] / Reynald Brizais, Auteur . - 2013 . - pp. 177-189.
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers de l'actif > HS 1 (03/2013) . - pp. 177-189
Résumé : L’équipe — mais plus précisément l’équipe pluridisciplinaire — reste la marque du médico-social, dans sa distinction avec le sanitaire, ou le champ de l’éducation scolaire ordinaire. Travailler en équipe a été dès le départ une évidence dans ce secteur… Cela ne l’est plus, au point qu’est apparu ce néologisme, " faire équipe "… L’équipe serait donc à faire, à fabriquer, à faire tenir…
Autant de signes d’un délitement de l’évidence identitaire d’être une équipe que les acteurs de terrain portaient en eux dans le cadre de pratiques à l’origine en milieu fermé (internat spécialisé en particulier).
Le " milieu ouvert " des années quatre-vingt avait déjà modifié sérieusement les choses…
Les mouvements suivants d’expansion de l’exigence d’ouverture, avec au premier plan l’intégration scolaire " en milieu ordinaire " des années quatre-vingt-dix, la loi 2002-2… vont augmenter ce processus d’altération du sentiment d’équipe.
Le Sessad – et d’autres dispositifs d’intervention au plus près ou dans le milieu ordinaire de vie du sujet entraînent la même conséquence.
La logique réseau que les cadres vont porter a souvent été présentée par eux comme une mutation obligée, si ce n’est souhaitable, dans la forme de travail qu’il faudrait désormais réaliser et supporter. Mais entre l’équipe pluridisciplinaire des origines, et la logique réseau actuelle, on est passé (sans en être non plus sorti) par le partenariat, autre figure qui est venue percuter les dynamiques en place d’équipe.
Le constat est donc aujourd’hui précis ; il faut " faire équipe " parce que l’équipe, ça ne marche plus, en tout cas plus autant. Certains des acteurs ont pris le goût d’une indépendance, dans la confusion avec une autonomie relative maximale qui seule est souhaitable.
Quand les cadres avaient promu le travail en partenariat comme gage d’ouverture, ils se l’étaient réservé, représentant leurs institutions dans les carrefours et croisements partenariaux…
Le travail en réseau, nouvelle donne apparue dans les années 2000, oblige quant à lui à aller pour loin dans la distribution des rôles, et à renoncer à cette appropriation par la hiérarchie des liens externes.
Faire équipe, c’est donc aujourd’hui une affaire de réglage, subtil, entre la nécessité éprouvée de maintenir une cohésion, un sentiment groupal, pour donner une consistance suffisante à l’idée de " service ", le renoncement à l’exclusive de la seule présence des chefs dans les liens institutionnels obligés qui accompagnent le processus de soin dans ce type de service, et enfin le risque de dispersion, et donc de dérive que l’on court si la dimension institutionnelle n’est pas clairement représentée et portée par tous les acteurs qui interviennent au nom du service…
Faire équipe ne relève donc pas d’une nouvelle méthode de management, encore moins d’une modernité quelconque, mais bien du maintien de la nécessité d’institutionnaliser les interventions, et de mettre en place chacun des intervenants, seule garantie offerte pour l’usager de ne pas se trouver instrumentalisé, objectivé, pris dans la subjectivité d’un intervenant isolé…
C’est donc bien la même histoire toujours… Seule la mise en scène diffère…
Faire équipe, version organisationnelle, fonctionnelle, d’un faire institution, plus éthique, plus politique, et partant plus difficile à penser.
Permalink : http://www.cdi-meslay.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=15421 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12553 S364 CAH Périodique CDI Social Disponible L'Intimité ou la résistance du sujet à l'institution / Reynald Brizais in Les Cahiers de l'actif, 392/393/394/395 (01/2009)
[article]
in Les Cahiers de l'actif > 392/393/394/395 (01/2009) . - pp. 47-54
Titre : L'Intimité ou la résistance du sujet à l'institution Type de document : texte imprimé Auteurs : Reynald Brizais, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp. 47-54 Langues : Français (fre) Résumé : L'intimité apparient dans un État de droit aux libertés publiques, au même rang que le droit à la sûreté, la liberté d'expression, etc. Elle énonce la possibilité d'échapper aux prescriptions externes de ses conduites, c'est-à-dire au jugement d'autrui. Dans le même temps, elle s'établit dans le cadre de l'adage fondateur du droit. L'institution vient sans cesse peser sur le sujet; elle l’oblige à se tenir là et comme il est attendu. Ce n'est que dans la sphère aux limites imparfaites de son intimité qu'il peut croire à une libre détermination. Mais celle-ci reste pourtant réduite à ses assujettissements, en sorte que l'intimité, pour partie, pourrait bien être une illusion, sans doute nécessaire. L'intimité au dont vient rendre tolérable l'omniprésence du social, autant qu'elle maintient chez le sujet le désir d'y résister. Elle permet à l'usager de trouver refuge face à l'effet panoptique que l'institution de soin, d'accueil, engendre obligatoirement. L'obligation de surveillance qui pèse sur les uns, la vigilance qu'on exige d’eux, parfois pondérée en un "veiller sur" plus chaleureux, cogne en permanence sur le désir d'intimité du sujet et osn besoin de repli. Pour le sujet contraint à ce vécu collectif pour des motifs d'une dépendance non réductible parfois par d'autres modes, la personnalisation de sa prise en charge n'est jamais qu'un aménagement de peine ! Permalink : http://www.cdi-meslay.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=15491 [article] L'Intimité ou la résistance du sujet à l'institution [texte imprimé] / Reynald Brizais, Auteur . - 2009 . - pp. 47-54.
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers de l'actif > 392/393/394/395 (01/2009) . - pp. 47-54
Résumé : L'intimité apparient dans un État de droit aux libertés publiques, au même rang que le droit à la sûreté, la liberté d'expression, etc. Elle énonce la possibilité d'échapper aux prescriptions externes de ses conduites, c'est-à-dire au jugement d'autrui. Dans le même temps, elle s'établit dans le cadre de l'adage fondateur du droit. L'institution vient sans cesse peser sur le sujet; elle l’oblige à se tenir là et comme il est attendu. Ce n'est que dans la sphère aux limites imparfaites de son intimité qu'il peut croire à une libre détermination. Mais celle-ci reste pourtant réduite à ses assujettissements, en sorte que l'intimité, pour partie, pourrait bien être une illusion, sans doute nécessaire. L'intimité au dont vient rendre tolérable l'omniprésence du social, autant qu'elle maintient chez le sujet le désir d'y résister. Elle permet à l'usager de trouver refuge face à l'effet panoptique que l'institution de soin, d'accueil, engendre obligatoirement. L'obligation de surveillance qui pèse sur les uns, la vigilance qu'on exige d’eux, parfois pondérée en un "veiller sur" plus chaleureux, cogne en permanence sur le désir d'intimité du sujet et osn besoin de repli. Pour le sujet contraint à ce vécu collectif pour des motifs d'une dépendance non réductible parfois par d'autres modes, la personnalisation de sa prise en charge n'est jamais qu'un aménagement de peine ! Permalink : http://www.cdi-meslay.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=15491 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 14601 S630 CAH Périodique CDI Social Disponible 12150 S630 CAH Périodique CDI Social Disponible Pour en finir avec la relation privilégiée... critique de la notion de référent / Reynald Brizais in Les Cahiers de l'actif, 424/425 (09-10/2011)
[article]
in Les Cahiers de l'actif > 424/425 (09-10/2011) . - pp. 131-140
Titre : Pour en finir avec la relation privilégiée... critique de la notion de référent Type de document : texte imprimé Auteurs : Reynald Brizais, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 131-140 Langues : Français (fre) Résumé : Le réferent n'apparaît pertinent que dans la seule mesure où on le traduit et le met en place dans une idée de coordination du cas. Chaque sujet entrant dans un établissement médico-social se voir ainsi offert la garantie qu'un agent dûment désigné assumera la charge d'une coordination de son dossier. A l'inverse, on conteste profondément que cette coordination puisse signifier la nécessité ou le forçage vers une relation privilégiée entre cet agent et l'usager, l'agent devenant dangereusement alors une réduction de l'institution... La responsabilité des intervenants ne saurait être sur le terrain éthique, ni exclusive, ni globale... Permalink : http://www.cdi-meslay.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12680 [article] Pour en finir avec la relation privilégiée... critique de la notion de référent [texte imprimé] / Reynald Brizais, Auteur . - 2012 . - pp. 131-140.
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers de l'actif > 424/425 (09-10/2011) . - pp. 131-140
Résumé : Le réferent n'apparaît pertinent que dans la seule mesure où on le traduit et le met en place dans une idée de coordination du cas. Chaque sujet entrant dans un établissement médico-social se voir ainsi offert la garantie qu'un agent dûment désigné assumera la charge d'une coordination de son dossier. A l'inverse, on conteste profondément que cette coordination puisse signifier la nécessité ou le forçage vers une relation privilégiée entre cet agent et l'usager, l'agent devenant dangereusement alors une réduction de l'institution... La responsabilité des intervenants ne saurait être sur le terrain éthique, ni exclusive, ni globale... Permalink : http://www.cdi-meslay.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=12680 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11434 S621 CAH Périodique CDI Social Disponible 12156 S621 CAH Périodique CDI Social Disponible Le Quotidien, ou prendre le temps du soin / Reynald Brizais in Les Cahiers de l'actif, 386/387 (06/2008)
[article]
in Les Cahiers de l'actif > 386/387 (06/2008) . - pp. 73-82
Titre : Le Quotidien, ou prendre le temps du soin Type de document : texte imprimé Auteurs : Reynald Brizais, Auteur Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp. 73-82 Langues : Français (fre) Résumé : Le quotidien, pour des raisons directement liées au développement de la professionnalité dans ce secteur, a beaucoup perdu de son intérêt et de sa valeur aux yeux des acteurs impliqués. Source d'usure, il est volontiers déplacé vers les professionnels les moins qualifiés, voire des bénévoles. Il constitue pourtant l'un des deux piliers d'un processus de soin. Ce processus de soin que réalisent les institutions spécialisées à caractère social ou médico-social se construit pour nous sur une dialectique entre l'"avoir soin" (qui recouvre ce que quotidien veut dire en termes d'accompagnement d'autrui) et "soigner" (qui suppose la mise en oeuvre de stratégies thérapeutiques spécifiques). Le travail du cadre et de l'ambiance doit rester central dans ces dispositifs, au même rang que l'élaboration de projets et le travail d'évaluation. Permalink : http://www.cdi-meslay.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=14316 [article] Le Quotidien, ou prendre le temps du soin [texte imprimé] / Reynald Brizais, Auteur . - 2008 . - pp. 73-82.
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers de l'actif > 386/387 (06/2008) . - pp. 73-82
Résumé : Le quotidien, pour des raisons directement liées au développement de la professionnalité dans ce secteur, a beaucoup perdu de son intérêt et de sa valeur aux yeux des acteurs impliqués. Source d'usure, il est volontiers déplacé vers les professionnels les moins qualifiés, voire des bénévoles. Il constitue pourtant l'un des deux piliers d'un processus de soin. Ce processus de soin que réalisent les institutions spécialisées à caractère social ou médico-social se construit pour nous sur une dialectique entre l'"avoir soin" (qui recouvre ce que quotidien veut dire en termes d'accompagnement d'autrui) et "soigner" (qui suppose la mise en oeuvre de stratégies thérapeutiques spécifiques). Le travail du cadre et de l'ambiance doit rester central dans ces dispositifs, au même rang que l'élaboration de projets et le travail d'évaluation. Permalink : http://www.cdi-meslay.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=14316 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12159 S12 CAH Périodique CDI Social Disponible La Rencontre famille - institutions spécialisées / Reynald Brizais in Les Cahiers de l'actif, 456/457/458/459 (05-08/2014)
[article]
in Les Cahiers de l'actif > 456/457/458/459 (05-08/2014) . - pp. 67-82
Titre : La Rencontre famille - institutions spécialisées : penser la confrontation, pour éviter l'affrontement Type de document : texte imprimé Auteurs : Reynald Brizais, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : pp. 67-82 Langues : Français (fre) Résumé : Plutôt que de rêver à une rencontre sereine et tranquille entre la famille et les institutions de l'enfance, ordinaires ou spécialisées, il convient selon nous de se préparer à cette conflictualité qui est structurellement constituée, en sorte de l'anticiper, en la parlant d'emblée, avec les parents (mais aussi avec l'enfant), pour voir avec eux sur quels points quels accords et alliances sont possibles dans l'intérêt supérieur de leur enfant.
La conflictualité ne doit ici comme ailleurs pas être confondue avec le conflit dans sa visibilité, c'est-à-dire la crise (les crises); s'il s'agit de lutter autant que possible contre le surgissement de ces dernières, il convient de toujours conserver à l'esprit le caractère irréductible de la première.
En organisant la confrontation, on peut s'éviter d'aller trop souvent à l'affrontement.Permalink : http://www.cdi-meslay.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18651 [article] La Rencontre famille - institutions spécialisées : penser la confrontation, pour éviter l'affrontement [texte imprimé] / Reynald Brizais, Auteur . - 2014 . - pp. 67-82.
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers de l'actif > 456/457/458/459 (05-08/2014) . - pp. 67-82
Résumé : Plutôt que de rêver à une rencontre sereine et tranquille entre la famille et les institutions de l'enfance, ordinaires ou spécialisées, il convient selon nous de se préparer à cette conflictualité qui est structurellement constituée, en sorte de l'anticiper, en la parlant d'emblée, avec les parents (mais aussi avec l'enfant), pour voir avec eux sur quels points quels accords et alliances sont possibles dans l'intérêt supérieur de leur enfant.
La conflictualité ne doit ici comme ailleurs pas être confondue avec le conflit dans sa visibilité, c'est-à-dire la crise (les crises); s'il s'agit de lutter autant que possible contre le surgissement de ces dernières, il convient de toujours conserver à l'esprit le caractère irréductible de la première.
En organisant la confrontation, on peut s'éviter d'aller trop souvent à l'affrontement.Permalink : http://www.cdi-meslay.org/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18651 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13691 S31 CAH Périodique CDI Social Disponible